Naturalia II

  • Couverture rigide – 240 pages
  • Editeur: Jonk Editions
  • Auteur: Jonk
  • Langue: Français et anglais
  • Format: 30.2cm x 21.6cm
  • ISBN: 978-2957645008

Sorti le 10 avril 2021. Préface par Yann Arthus-Bertrand. Photographe, reporter, réalisateur et écologiste français. Président de la Fondation GoodPlanet.


Un mot de l’auteur et de l’éditeur:  

En mars 2018, sortait le livre Naturalia. J’ai eu le privilège d’avoir une préface d’Alain Schnapp – historien et archéologue, auteur de nombreux ouvrages sur le thème des ruines et ancien directeur de l’Institut National de l’Histoire de l’Art.   Peu de temps après, en juin 2018, je quittais une carrière dans la finance pour me consacrer exclusivement à ce projet. A travers cette série et avec mes modestes moyens de photographe, j’essaie de contribuer à relever le défi écologique qui se présente à l’Homme en tentant d’éveiller la conscience de tout un chacun.   Aujourd’hui, trois ans après la sortie du premier volume, j’ai voulu lui donner une suite. Cette fois, c’est Yann Arthus-Bertrand qui me fait l’honneur de rédiger la préface.   Ces trois dernières années ont été très importantes sur le plan écologique. D’une part, la situation s’est encore dégradée avec des espèces qui disparaissent tous les jours. Le réchauffement climatique perdure et entraine des catastrophes naturelles à répétition: inondations, incendies, sécheresses, etc. De l’autre, la conscience collective s’est largement éveillée. Nous sommes encore loin de l’engagement nécessaire pour faire réellement bouger les choses, mais elles vont clairement dans le bon sens. Des millions d’initiatives voient le jour et j’espère que mes photos et le message qui les accompagne apporteront une petite pierre à l’édifice.   Ce deuxième volume compile donc la suite de mes photographies de lieux abandonnés repris par la nature. J’ajoute que j’ai pris en compte les deux remarques qui me sont revenues le plus souvent sur le premier. Naturalia II est donc en français et en anglais et toutes les photos sont légendées. Le livre montre 221 photos réalisées dans 17 pays. Châteaux, usines, églises, écoles, parcs d’attractions et autres structures, abandonnés par l’Homme et repris par la Nature, composent ce second opus. L’ouvrage complète la série Naturalia et poursuit la recherche initiée sur la relation entre l’Homme et la Nature. A travers ces images, je montre à nouveau la force de la Nature et invite à la réflexion sur la place que nous occupons sur Terre, et sur l’urgence de nous montrer enfin humbles.



Revue de presse:

« Jonk, un fotógrafo autodidacta, centra su trabajo en los humanos y su relación con la naturaleza, para ayudar a crear conciencia sobre la crisis ecológica del planeta. » Vice   « Jonk est animé par la passion. Ce qu’il fait avec son travail Naturalia porte un message fort : il essaie de faire prendre conscience qu’il est urgent de se mobiliser. Il veut amener l’écologie au cœur des consciences. » Yann Arthus-Bertrand  

« Lorsqu’on se promène sur les routes de France et du monde, il peut arriver de passer à côté d’une maison en ruine ou d’une carcasse de voiture rouillée. On se demande alors pourquoi des humains les ont-ils délaissés, et ce qu’ils vont devenir. Ce mystère, le photographe Jonk parcourt le monde pour le photographier. […] Un travail poussé par sa conscience écologique. Mais pour le photographe, ces lieux sont loin de renvoyer un message négatif. S’ils sont la preuve de l’impact de l’Homme sur la planète, le photographe garde espoir en l’avenir. » Wedemain

« Comme pour le premier ouvrage de Jonk sur le sujet, Naturalia II est la compilation de photographies qu’il a réalisée au gré de ses explorations aventureuses de lieux abandonnés. Il ne s’agit pas de là d’un inventaire de n’importe quel type d’endroits délaissés non, Naturalia II montre des lieux que nous autres humains avons abandonnés mais que la nature a reconquis. Il existe en ce monde toutes sortes de bâtiments que l’Homme a abandonnés et que la nature a rendu magnifiquement siens, envahissant les infrastructures abîmées par le temps. Ce travail demande une grande et longue implication de la part du photographe Jonk, qui, pour ce deuxième ouvrage, a recueilli 221 photos prises dans 17 pays différents. Il voyage donc, mais pas seulement. Il est facile de comprendre que ces lieux dont il ramène des photographies sont difficiles d’accès. Il faut les trouver et y pénétrer avant de pouvoir y placer son appareil photo. […] En s’ouvrant au monde entier et en cherchant dans un nombre sans limite de pays, Jonk crée un panel infiniment variés de lieux submergés par la nature. Naturalia II est comme un message d’espoir : même si l’homme veut l’écraser et la dominer, finalement la nature reprend toujours le dessus. Au contraire de l’être humain, elle n’abandonne pas un endroit où elle s’est installée. » Beware

« La vie sait s’accrocher, et sa capacité de résilience est surprenante. C’est, en substance, le message que nous transmet le travail photographique de Jonk, qui vient de publier Naturalia II, un nouvel opus de sa Chronique des Ruines Contemporaines.  […] Dans Naturalia II, chacune des images diffuse une étrange poésie, comme une invitation à méditer sur le temps qui passe et sur les éphémères créations de l’Homme. » Aventures pour le changement

« Jonk marche à sa façon sur les traces et dans les pas de Yann Arthus-Bertrand. »  Georges Lévêque

« How incredible are these photos?  » Parker Harris

« Jonk a quitté le monde de la finance pour celui de la photo. L’éphémère pour l’éternel. Son approche se veut philosophique. Si l’homme meurt et ses traces disparaissent, la nature, elle, survit et persiste, même péniblement. » Momentum Nostrum

« Fidèle à son obsession, cet artiste hors norme a continué à parcourir le monde à la recherche de lieux abandonnés, hors-du-temps. » L’œil de la photographie

« Que seraient les villes si l’humanité venait à disparaître ? Le photographe Jonk aurait peut-être trouvé la réponse avec ses séries de photos Naturalia et Naturalia II : la nature reprendrait ce qu’on lui a emprunté, souvent de force et avec brutalité… Des clichés créant une véritable poésie de l’abandon où, derrière cette triste vision apparente, se cache finalement un espoir, celui d’un retour progressif de la Nature. » Les lumières de la ville

« Jonk nous dévoile dans son 6e ouvrage 221 photographies de toute beauté prises dans 17 pays. Ce magnifique ouvrage met en lumière les lieux abandonnés repris inexorablement par la Nature. Au fil des pages, on découvre des séries étonnantes et oniriques comme cette singulière salle de bal en Allemagne ou ce temple à Taïwan. On aime son engagement écologique inspirant, son message pour faire changer les choses le plus rapidement possible. » Luxury Touch

« Jonk parcourt le monde sur les traces des lieux abandonnés par les humains. Le photographe, qui sort en ce printemps Naturalia II, aime les capturer et les immortaliser pour la bonne cause. Jonk les traque sur tous les territoires, tous les continents. Son obsession : trouver des zones que les humains ont abandonnées. Le temps est passé, et les végétaux ont repris leurs droits au milieu des bâtiments en ruine ou au pied des murs démolis. Ses photos qu’il a rassemblées dans un livre, magnifique, en témoignent. « La nature est plus forte que nous », explique Jonk dans cet entretien dans lequel il évoque ses aventures et son engagement. » Le Zephyr

« Magnifique album de photos. » Journal de France

« Après le règne de l’homme, l’apocalypse ? Le photographe Jonk adopte un autre point de vue, plus positif. Ce deuxième volume prolonge le premier opus Naturalia, publié en 2018. Toute vie humaine est absente de ses images. Mais, en dépit des traces bien visibles, laissées par la main de l’homme, il nous montre surtout une nature résistante, omniprésente, dans des lieux abandonnés. Il faut regarder chaque image en ayant en tête ces mots, écrits par l’auteur en introduction : « Quand la Nature et le Temps auront repris ce que l’Homme abandonne, que restera-t-il de notre civilisation ? ». Et ceux de Yann Arthus-Bertrand, qui a rédigé la préface : « Il y a une vraie recherche du sens chez les jeunes qu’il n’y avait certainement pas à mon époque. » Il souligne combien l’engagement, écologique en l’occurrence, peut rendre heureux. Ce qui est le cas de Jonk. Ainsi, même du chaos apparent d’une voiture encastrée dans un arbre, nait une surprenante beauté. Au-delà de l’engagement et du goût du voyage, pour défricher ces lieux dépeuplés, il faut aussi un certain talent. Celui de Jonk éclate tout au long du livre (son sixième), en couleurs. Une lueur d’espoir. En attendant Naturalia III… » Le Monde de la Photo